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Le mensonge en islam (Takkyia)

L’amour du mensonge III emprunté au blog Rebelles.info

Publié avec l’autorisation de l’auteur :


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Le « makar » du monde

Par séduction continue
(éducation, tradition culturelle, média quotidien) ou par inclination innée, les amants du mensonge ont pour seule alternative d’affranchissement de leur addiction : revenir au
bon sens de nature foncière, privilégiant l’autonomie de la Vie et de la Vérité d’aussi près que possible.

L’Evangile voue aux géhennes
quiconque aime et pratique le mensonge (Apo 22-15) et recommande ceci : Heureux qui ne se tourne pas vers ceux que le mensonge égare (Psaume
40-5).

Le prophète Esaïe (32-12)
fustige ceux qui amènent par des mensonges la perte des malheureux (victimes de leurs menteries).

En fait, d’innombrables
citations bibliques exhortent à ne pas céder au mensonge.

Dans le Livre des
livres
est écrite cette révélation fondamentale : l’adversaire le plus pernicieux et le plus redoutable de l’espèce humaine demeure Satan (le diable) qui est menteur et le Père du
mensonge
(Jean 8-44), personnalité métaphysique dont j’évoquais la puissance précédemment.

Or le coran célèbre le recours
au makar comme étant le meilleur menteur et conspirateur du monde, à savoir Allah him self, suprême législateur de la justice islamique par son dogme de la
takkyia tant prisée par Mahomet qui, à son exemple, l’éleva au rang de vertu ineffable.

Cet art de la tromperie, qui
trouve son fondement doctrinal dans l’islam, serait supérieur aux vertus militaires de courage, de bravoure ou de sens du sacrifice… Les couards, les collaborateurs de toutes espèces (ils sont
légions) et leurs rusés oulémas s’en frottent les mains !

Pourquoi hommes et femmes de
l’oummah semblent-ils reconnaissants pour l’application de la takkyia ? Qui pourtant les trompe et les persécute intimement ? Leur permettrait-elle d’épanouir leur penchant pour
la tromperie (le cœur de l’homme est trompeur, rappelle Jérémie 17-9), pour la cupidité ou le pouvoir sur autrui qu’offre l’exercice du mensonge ?

Posons d’emblée la question :
Qu’est-ce que la taqiyya pour l’immensité des croyants de l’Oumma (plus d’un milliard trois cent millions d’individus) ? Ignorent-ils que celle-ci est fondée sur un mot arabe évoquant la
peur… Que sa force, sa substance se love dans l’inconscient collectif, verrouillant le subconscient des fidèles par l’artéfact du fatalisme ? Mektoub…

Sont-ils au fait des diverses
interprétations transhistoriques des oulémas et imams qui les instruisent ? Perçoivent-ils les divers angles conjoncturels et les conséquences qu’elles impliquent ? Estiment-ils qu’elle n’est
qu’habileté manœuvrière de dissimulation et de tromperie somme toute profitable ?

Comment la taqiyya
s’inscrit-elle dans la vision panoramique de l’éthique de l’islam, notamment relationnelle avec les non-musulmans (ces maudits infidèles), inexorablement invités à se soumettre de gré ou
de force ? Par ailleurs, comment la doctrine de la taqiyya régit-elle les interactions entre musulmans et non-musulmans ?

Ce sont-là des questions dont
les réponses s’illustrent dans la réalité des nuisances qu’elles recouvrent, cautionnées et couvertes par le parapluie dogmatique du Makar, l’absoluteur coranique du mensonge
mahométan.

Une sourate (8 :30) expose un
des principes asservissants de sa légalisation :
Lorsque les incrédules usent de stratagèmes contre toi, pour s’emparer de toi, pour te tuer où pour t’expulser, Allah use aussi
de stratagèmes… et c’est Allah qui est le plus fort en stratagèmes
(en tromperies).

Dans la crainte d’une
persécution, un des aspects préventifs de la taqiyya consiste à masquer son identité religieuse car, selon la Charia, le mensonge est non seulement permis mais encore considéré
comme une obligation salutaire digne d’éloge.

Les musulmans forcés de choisir
entre renier l’islam ou être persécutés ont le droit de mentir et de feindre même l’apostasie, pour déjouer une menace qui pourrait les atteindre. Ils ont le «devoir» de mentir pour se protéger
de tout ce qui pourrait les affecter théologiquement, militairement et bien entendu dans toutes négociations marchandes.

C’est ainsi que la
taqiyya permet aux Chiites de masquer aux Sunnites leur appartenance confessionnelle en occultant leur propre croyance, mais aussi de manière active, en priant et en mimant une conduite
sunnite.

At-Taqiyya
fi’l-Islam

Le verset 3:28 du Coran est
souvent considéré comme un paradigme pour ceux qui usent de la dissimulation envers les Kafirs (infidèles et non-musulmans) : Si vous vous trouvez sous leur autorité et que vous
craignez pour vous, comportez-vous loyalement avec eux en paroles tout en gardant en vous de l’animosité contre eux… Allah a interdit aux croyants l’amitié ou l’intimité avec les infidèles
plutôt qu’avec d’autres croyants – sauf quand les infidèles sont placés au-dessus d’eux. Si c’était le cas, qu’ils agissent «amicalement» envers eux tout en préservant leur
religion
.

D’où le conseil judicieux qui en découle communément : Souriez à la face de certaines personnes
alors que votre cœur les maudit
. Ce qui pourrait se décliner en un fabliau facétieux : Souriez jusqu’à ce que vous, «ânes du désert» (appellation biblique donnée aux ismaélites)
soyez majoritaires et que vous puissiez braire d’un même chœur triomphant.

Ainsi, tout musulman à le droit de se comporter comme un infidèle : se prosterner devant des idoles
ou des croix en faisant mine de les adorer, pratiquer de faux témoignages et même révéler à l’ennemi certaines faiblesses musulmanes car, même pratiquée hors de toute contrainte, la taqiyya
ne conduit pas à un état d’infidélité, même si elle présente un péché méritant le feu de l’enfer.

Par ailleurs, le
mensonge est une forme sophistiquée de l’art de la guerre
. Toutes les armées du monde l’applique, évidemment, mais en toute circonspection. Dans le coran, duper l’ennemi est autorisé et
encouragé par tous les fidèles !
C’est pourquoi dans les guerre mahométanes, la pratique du mensonge est présentée comme supérieure au courage.

Un postulat militaire prédomine en Islam : La guerre est le mensonge.
enseignait Ibn Hajar (décédé en 1448), en prônant d’être très prudents à la guerre, tout en se lamentant et en pleurant (publiquement) afin de mieux duper les
infidèles

«La guerre sainte» est une
guerre de tromperie et non d’affrontement, car celle-ci est intrinsèquement dangereuse et qu’il est possible d’atteindre la victoire par la tricherie sans subir soi-même de
dommages,

La légitimité doctrinale du
mensonge aux infidèles peut aller jusqu’à dénigrer l’Islam et le Prophète lui-même, jusqu’à devenir assez convaincant pour tuer le crédule, ou l’imbécile, qui s’y laisserait
prendre.

Mahomet déclarait à ses fidèles qu’Allah lui avait ordonné d’entretenir le doute chez les gens
tout comme il lui commanda de créer d’infinies
(et tatillonnes) obligations (religieuses et culturelles), allant même jusqu’à déclarer qu’il avait été envoyé pour jeter un voile
de confusion,
en précisant même que celui qui vit sa vie dans la dissimulation meurt en martyr. Le nec plus ultra de la foi ! Mais hélas, une caution implicite aux
candidats chahids ou islamikazes.

Le recours à la
taqiyya comme argument stratégique de combat, que ce soit pour une razzia classique, butin, esclaves, captation de terre, influence politique ; ou bien d’une guerre totalitaire,
impliquant s’il le faut le reniement de l’islam et de Mahomet. Ce sont-là des ruses tacitement admises, dans la mesure ou le critère intentionnel (niya) reste pur en regard du
but : vaincre et dominer pour la gloire d’Allah !

Puisque les musulmans
croient que c’est Allah qui a révélé les versets de la taqiyya, illustrés par le plus grand de ses prophètes, il est considéré comme le responsable du mensonge, d’autant qu’IL se décrit
lui-même comme le meilleur stratège, le meilleur conspirateur, le plus trompeur, autrement dit le makar, le meilleur menteur de tous les temps (p. ex. : 3:54, 8:30,
10:21).

Dans cette perspective
stratégique, la doctrine de l’abrogation affirme qu’en cas de désaccord doctrinaux, les versets révélés plus tard dans la carrière de Mahomet prennent le pas sur les versets antérieurs. Tout
simplement génial dirait Machiavel !

Il faut reconnaître à
Mahomet un réel génie, magistralement démontré par l’inversion des valeurs bibliques et historiques ; la réappropriation des prophètes juifs antérieurs à lui-même en les déclarant d’office
musulmans puisque soumis à Dieu… Wouaouh !

De même, ses stratégies de
conquête du pouvoir en son temps, puis au cours des siècles, à travers ses féaux qui les appliquent toujours. Néanmoins, il serait urgent, voire vital, de s’interroger sur la source mystique à
laquelle il s’abreuvait. Elle se révélera prochainement comme un prodigieux vortex phagocytaire de la civilisation Occidentale, et d’Israël en particulier. Mais là, le Seigneur de Sion
veille…

Ceci explique les
différences qui apparaissent d’une injonction pacifique mecquoise à un cri de guerre médinois, implacable contre les mécréants des tribus environnantes, surtout juives depuis
qu’Esaü conçut de la haine pour Jacob, (Ge 27-41). De siècle en siècle, ces deux courants jaillissent contre les infidèles de la terre, et se répandent en cercles croissants (56 pays
dominés à ce jour).

(la dissimulation dans l’islam)
est un ouvrage savant qui met clairement en évidence l’ubiquité et le large domaine d’application de la taqiyya. Toutes les sectes islamiques en admettent le principe et la pratique.
Bien entendu, la diplomatie islamique la préconise à profusion.

La plupart des versets contradictoires du Coran
découlent de ces deux inspirations urbaines moyenâgeuses (7ème siècle et de plus loin encore : Babel et Eden…). C’est pourquoi les versetq dits pacifiques et tolérants se trouvent à
proximité des versets violents et dominateurs.

Il n’y pas de contrainte en
religion

(2:256) allèguent subtilement cheikhs,
imams, oulémas, mollahs et ayatollahs initiés, pour montrer leur longanimité, sachant qu’en réalité ce verset astucieux ne concerne que les croyants soumis au monde clos de
l’Islam (masquant comme un arbre solitaire une forêt), à savoir les centaines de versets coraniques ordonnant aux croyants de combattre tous les non-musulmans, jusqu’à obtenir leur conversion ou,
pour le moins leur soumission (8:39, 9:5, 9:29).

A la Mecque, un message de paix et de
coexistence était conjoncturellement à l’ordre du jour. Mais après, l’Hijra (l’hégire ou émigration du Prophète de la Mecque à Médine en 622), ayant acquis de la force
militaire, nombre de versets les incitant à passer à l’offensive furent alors révélés par l’ange Gabriel, accordant ses injonctions mystiques avec les capacités croissantes de l’islam
naissant.

Dans les textes juridiques, ces recommandations
relèvent de catégories hiérarchisées : patience et passivité ; autorisation de châtier d’éventuels agresseurs ; de combattre une population déterminée ; et enfin, le jihad ou guerre
sainte
(le top !) c’est-à-dire, l’ordre divin d’attaquer globalement tous les non-musulmans.

La force numérique du monde musulman constitue
le principe étayant ses stratégies et sa politique. Celle du jihad représente l’injonction suprême pour répandre la foi par une guerre «sanctifiée» et la conquête du monde, pour la
gloire de celui qui fut choisi parmi 360 (et plus ?) divinités préislamiques de la Kaaba mecquoise.

D’une façon ou d’une autre, prêché chaque
vendredi dans les mosquées, enseigné dans les madrasas, les camps d’entraînement militaire, paramilitaires et universitaires, c’est ce corpus théologique qui est récité et scandé aux musulmans du
monde entier, du berceau à la tombe : lorsque l’islam est faible et minoritaire, les prêches exhortent à se comporter selon les versets mecquois (patience, paix et tolérance) ; quand ils sont
forts et nombreux, ils doivent passer à l’offensive en appliquant les versets de médinois.

Tromper l’ennemi pendant une guerre relève
d’une nécessité usuelle, défensive ou offensive, mais dans le cas de l’islam, cela repose sur une stratégie élaborée durant quatorze siècles : duplicité, tromperie, mensonge d’Etat, propagande
perpétuelle, chantage au pétrole, aux bombes atomiques, aux kidnapping (exemple du soldat Guilat Shalit), trahisons diverses et mille autres perfidies mises en scène, autant que possible
sanglantes pour susciter la peur au plus grand nombre.

Relevant d’un ordre ontologique, la guerre
contre les infidèles prend de nos jours sa dimension pérenne, jusqu’à ce que tout chaos prenne fin et que toute religion appartienne à Allah.

Pour clore ce troisième volet de ma série sur
le mensonge, les paroles qui suivent s’adressent à certains musulmans ayant le sentiment d’avoir été plus ou moins floués par l’influence culturelle et les traditions religieuses qui
sont les leurs. Las, ils ne sont pas les seuls à éprouver ce malaise. Cela fut le cas d’innombrables individus en d’autres temps et autres systèmes religieux. Mais il s’avère que dans le système
de l’Islam, cela devient un problème majeur concernant l’avenir du XXIème siècle.

Qui que tu sois, ne sois pas un simple
suiveur soumis, ignorant ce qui ce trame en arrière-plan de tes croyances et, s’il se peut, acquière l’autonomie de penser par toi-même. En quelque sorte, apprend à marcher
au-devant de toi sur le chemin que ta vie emprunta jusqu’alors, et tu deviendras un guide éclairé pour toi, et peut-être pour d’autres.

Qui que tu sois, tu n’as qu’une seule vie en ce
bas-monde ! Remplis-la en pleine conscience et assentiment de tes pensées avec tes actes… Sous le regard de l’Eternel, notre Créateur qui n’est ni d’une petite ou grande religion, ni musulman, ni
catholique, ni protestant, ni orthodoxe, ni bouddhiste, ni hindouiste, ni existentialiste athée, ou d’une quelconque dénomination religieuse échafaudée par l’ingéniosité superstitieuse des
hommes.

Bref, nullement le fruit de concepts humains
fondés sur la peur de l’au-delà de la mort

L’Eternel, créateur de tout ce qui existe est
un Père juste, qui s’intéresse à toi et qui ne te souhaite pas une mort violente, confuse ou stupide. Tu n’ignores pas que tout homme, plus ou moins religieux, peut avoir le bon sens d’arrêter sa
course un temps pour faire le point sur la fiabilité de sa foi.

Qui que tu sois, tu peux admettre que l’Eternel
t’a doté d’une grande capacité de raisonnement et d’une intelligence perspicace. C’est pourquoi IL t’interpelle parfois et t’invite à être apte d’accomplir le destin qu’IL a
tracé pour toi. Sur ce chemin ouvert, dont tu ignores de quoi demain sera fait, saches que si tu recules d’un pas, tu meurs ; si tu stationnes par crainte de l’inconnu, tu meurs, mais si
tu avances d’un pas, tu sondes une voie nouvelle basée sur le questionnement du sens ta vie.

Ce que le coran appelle Jahiliyya «le
temps d’ignorance et de confusion» peut cesser pour toi aussi, comme il cessa un jour moi, et pour des millions d’autres personnes de part le monde. Venant de l’athéisme, je suis devenu un homme
de foi, en paix avec mon Père Céleste, qui est aussi le tien ; sur notre terre, qui est aussi la tienne. Or, tu n’es pas sans ignorer que le monde actuel pressent l’horreur d’un embrasement
atomique à l’horizon de notre décennie… Rien n’est plus triste que de mourir hébété, alors que nous avons tous l’intuition d’une étincelle d’éternité dans notre
esprit.

Qui que tu sois, frère humain, médite cette parole de Thomas Jefferson : L’homme qui ne craint pas la vérité n’a rien
à craindre du mensonge
. Ou celle du prophète Malachie (3-8) : Un homme trompe-t-il Dieu ? Ou de Jérémie (29-8) : Ne vous laissez pas tromper par vos prophètes
!

Alors, quand bien-même ton Dieu traditionnel se désignerait-il comme le meilleur Makar du monde, considère ta
propre voie et la liberté d’être toi-même : un homme debout et digne sous le regard de l’Eternel, ton Père.

©François Celier. Ecrivain, Pasteur

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Un commentaire »

  1. […] Le mensonge  et la dissimulation  en islam (Takkyia)  préconisés par leur coran, une des règl… […]

    Ping par Belgique : L’étrange Manifeste citoyen du parti POLITIQUE : ISLAM | Francaisdefrance's Blog — février 22, 2014 @ 6:21 | Réponse


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