
Un salon de coiffure spécial femme voilée
A Suresnes, un salon propose d’isoler les femmes qui souhaitent se faire coiffer à l’abri des regards.
« Salle réservée à la femme voilée ». Ces quelques mots inscrits sur le prospectus publicitaire d’un salon de coiffure de Suresnes, le Marrakech, en ont interloqué plus d’un. Du syndicat des coiffeurs aux associations de quartier en passant par la mairie, « on n’a jamais vu ça ». « Jamais entendu parler » d’un salon proposant une telle prestation.
Repris depuis l’été dernier par un propriétaire qui tient à taire son nom(pourquoi???), le Marrakech existe toujours sous l’enseigne My Hair Lady. Installé au pied d’une résidence de l’office municipal HLM, il accueille à la fois hommes et femmes pour des coupes brushing à 18 €, des défrisages à 38 €, des mèches, soins de la barbe, etc. Et pour « la femme voilée qui ne veut pas que les hommes la voient » comme l’expose, hésitant et gêné, le patron de la boutique, « un coin » permet d’échapper aux regards masculins.
« C’est la loi de l’offre et de la demande »
Quatre fauteuils de coiffeur sont installés dans ce « coin », qui s’étend quasiment sur la moitié du salon. Il suffit de tirer un rideau pour isoler la surface ouverte de la partie protégeant « l’intimité de la femme musulmane ». « Mais si d’autres femmes veulent être tranquilles, on peut les installer là et tirer le rideau. Ce n’est pas une salle spéciale », argumente le commerçant.
C’est pourtant ce qui est clairement indiqué sur le document publicitaire. « Mais c’est l’ancien propriétaire qui a fait ça. » Sauf que ce sont bien les numéros de téléphone de l’actuel qui figurent sur la publicité.
Lors de la signature du nouveau bail, « il n’a jamais été question d’une salle réservée aux femmes », s’étonne la mairie, qui découvrait hier l’existence de ce salon très particulier. « Le coiffeur n’a pas l’obligation d’indiquer ce genre de choses quand ils’inscrit à la chambre des métiers », précise Daniel Goupillat, président de la branche coiffure esthétique à la chambre consulaire Hauts-de-Seine.
Au Conseil national des entreprises de coiffure (CNEC), le principal syndicat de coiffeurs, on est pour le moins intrigué. « C’est très surprenant. Alors qu’on parle d’intégration et après tout ce débat sur la laïcité, je m’étonne, commente sa secrétaire générale, Michèle Duval. Mais après tout, chacun peut proposer le concept qu’il veut. Ce coiffeur a peut-être trouvé un créneau porteur. »
Ce que semble croire Abdel Ghani, président de la CIS (Coordination islam et société), qui ne voit « aucune signification particulière » à cette initiative du commerçant de Suresnes : « C’est la loi de l’offre et la demande ».
A l’association Zy’va de Nanterre, emblématique des associations de quartier, on se montre autrement plus tranché. « Nous, les Français d’origine étrangère, on lutte contre les discriminations et à la fois on se discrimine nous-mêmes, s’irrite Hafid Ramouni, président de Zy’va. Il y a en ce moment une mode des espaces réservés aux pratiques religieuses, comme les piscines où seules les femmes peuvent aller à certaines heures. Cela me choque et relève de comportements asociaux dans un pays laïc. »
Source: http://tinyurl.com/ag2rba
ACTION
C’est très simple avec la méthode Amnesty International SITA : une lettre dans une enveloppe timbrée, envoyée par la poste (voir http://tinyurl.com/6r4fsu )
Et, à partir de là imprimer un texte du genre:
« Mettre en avant le principe de laïcité pour combattre le voile est une nouvelle preuve de lâcheté : il faut dire les choses franchement, ce ne sont pas les religions qui menacent la laïcité, du moins pas les religions traditionnelles de notre pays, que sont le catholicisme, le protestantisme ou le judaïsme. La seule menace vient de l’islam, qui, rappelons-le, n’est pas une religion mais une idéologie, et ne s’arrête pas aux portes des écoles. A quoi cela a-t-il servi de tenter de libérer les femmes afghanes des burkas, ces robes grillagées qui recouvrent la totalité du corps, si c’est pour en voir aujourd’hui sur les marchés de Seine-Saint-Denis ? La liberté individuelle de porter ou non un voile doit s’arrêter devant l’oppression collective de millionsd’êtres humains.
A travers l’affaire du voile, les islamistes tentent de « gagner du terrain », de se mesurer à la Loi tout en essayant de passer pour des victimes. L’islam de l’Arabie Saoudite, l’islam de l’UOIF, l’islam de la Halde, l’islam de toutes ces associations prônant les bienfaits de l’enseignement de Mahomet, l’islam des banlieues et l’islam-refuge n’ont pas leur place en France !
Notre Pays n’a aucun racine musulmane, dire le contraire ne constitue qu’une vile tentative de révisionisme politico-religieux. »
(Note: Et pourquoi pas un salon “spécial chrétiennes” ?
Ah non là ce serait du racisme, de la discrimination ! Mais quand ils s’agit des islamofascistes, alors il s’agit de tradition, de pudeur, et gare aux sales kouffars racistes qui oseraient remettre le port du torchon en cause !)
A ceci (texte en italique), on peu joindre l’impression d’un dessin de Stef Bergol à récupérer ici: http://stephbergol.ifrance.com/
et/ou le document « qui va bien » sur le coran que l’on peut télecharger ici:
http://coranix.org/action/presentation_islam.htm
Vous pouvez recenser vos actions au Sitathon, http://sitathon.blogspot.com afin d’inciter d’autres internautes à agir de même.
Reste à trouver les adresses des destinataires de vos courriers, dans ce cas il faut envoyer vos lettres (affranchies au tarif de La Poste en vigueur (0,56 euros pour 20 grammes, soit 3 feuilles imprimées) aux services concernés de la ville de Suresnes que vous trouverez ici:
http://www.ville-suresnes.fr/indexfin.html et à l’adresse du salon de masquage, pardon, du salon de coiffure en question
Bizarre, car on ne la trouve pas directement dans les pages jaunes…) mais on peut la trouver grâce à la photographie en début d’article, le numéro de téléphone étant parfaitement lisible. Avec ce numéro, direction « Pages Jaunes » et l’adresse arrive… Rien de plus simple.
On peut aussi écrire à la Fédération Nationale de la Coiffure: http://www.fnc.fr/
Votre voisin ne sera pas votre porte-parole. Personne ne sera votre porte-parole alors créez et lancez des actions SITA ou participez-y.
Vous avez une enveloppe, un timbre alors vous avez le POUVOIR…………………………………….
……………………………………………………………………………..de dire son fait à toute personne publique.
A vos timbres!!!